Face au changement climatique qui fragilise la stabilité de la production fourragère, l’introduction de cultures dérobées plus tolérantes à la sécheresse constitue une stratégie d’adaptation susceptible de sécuriser l’alimentation du bétail.
Un projet d’Agroscope montre que la culture des amandes en Suisse est possible, mais exigeante. Le choix des variétés, des sites et les pratiques culturales sont des facteurs déterminants, et les risques économiques demeurent.
La population suisse estime que l’État, l’agriculture, le commerce de détail et les consommateurs sont responsables conjointement de la transition vers des systèmes alimentaires plus durables. C’est ce que révèlent deux enquêtes menées par Agroscope et l’EPF de Zurich.